Thursday, April 30, 2009

Wednesday, April 29, 2009

Rencontre entre la Chine et le Japon

Le Figaro

Le nouvel American way of life de l'ère Obama

Le Figaro

Times Archive Blog: 15 ways to survive a flu epidemic ...

Times Archive Blog: 15 ways to survive a flu epidemic ...

Fascismo

Times Archive

The Spanish Civil War

The Spanish Civil War

Where am I ?

Carol Ann Duffy has yet to make mind up on being next poet laureate
Times Online

¿Andalucía?

ELPAÍS.com

Arabia: chiudono le palestre femminili, e le donne protestano

Corriere della Sera

Tuesday, April 28, 2009

Online la biblioteca digitale mondiale

Corriere della Sera

Procession at Séville and bullfighting ...

World Digital Library

Yongle Encyclopedia

World Digital Library

Women's Customs Among the Tajiks

World Digital Library

First 100 Days

washingtonpost.com

foto del giorno di Corriere della Sera

foto del giorno di Corriere della Sera

Maltempo, Italia sotto pioggia e vento

Corriere della Sera

La Unión Europea entierra la jornada de 65 horas

ELPAÍS.com

Monday, April 27, 2009

Saturday, April 25, 2009

Pictures: Sri Lanka

Pictures: Sri Lanka

Galerie d'images

bluewin.ch

Friday, April 24, 2009

Il Divo - a Politician’s Life

NYTimes.com

Boys not stimulated by art lessons

The Guardian

How to Make a Dadaist Poem

To make a Dadaist poem:
Take a newspaper.
Take a pair of scissors.
Choose an article as long as you are planning to make your poem.
Cut out the article.
Then cut out each of the words that make up this article and put them in a bag.
Shake it gently.
Then take out the scraps one after the other in the order in which they left the bag.
Copy conscientiously.
The poem will be like you.
And here are you a writer, infinitely original and endowed with a sensibility that is charming though beyond the understanding of the vulgar.

Tristan Tzara

Die Welt als Zufall – mit Kalkül

NZZ Online

Thursday, April 23, 2009

Non vuol rubare o chiedere la carità

Non vuol rubare o chiedere la carità
Ragazza rom fa arrestare 10 parenti - Milano

Aosta, trovata la coppia di tedeschi

Aosta, trovata la coppia di tedeschi
Hanno tentato la fuga su un'Ape rubata - Corriere della Sera

G8, la Sardegna insorge: «È una follia»

Corriere della Sera

24 heures photo

Le Figaro Magazine

Video: Tricycle theatre's Afghanistan season

guardian.co.uk

We've got it all wrong on fishing strategy, says EU

Times Online

Mediablog di Marco Pratellesi

Corriere Della Sera

I would appreciate if this were or was true.
EF

«Il G8 di luglio lo terremo a L'Aquila»

Corriere della Sera

Wednesday, April 22, 2009

Sunday, April 19, 2009

La cumbre del calipso

Los secretos del arte

Zwei Frauen – ein Mann

Auf Gazellenjagd

Friday, April 17, 2009

The French President's whispering ...

"Sans l'ironie, le monde serait comme une forêt sans oiseaux."
Anatole France

Caramel

È tensione tra Malta e Roma

Clandestins bloqués en mer:
les autorités leur refusent l'accueil

Un navire marchand, qui a sauvé 154 immigrés clandestins, est bloqué depuis jeudi au sud de l'île italienne de Lampedusa, dans la zone d'intervention maltaise.Selon les médias italiens,les gouvernements des deux pays ont refusé d'accueillir les migrants.

Le navire turc battant pavillon panaméen avait secouru jeudi deux embarcations de clandestins à la dérive et avait également repêché un cadavre, à environ 80 kilomètres au sud de la petite île de Lampedusa, dans le sud de la Sicile.

Les autorités maltaises avaient demandé à l'équipage du navire marchand de faire route vers le port le plus proche, celui de Lampedusa. Mais Rome a estimé que les immigrés avaient été secourus dans la zone d'intervention et de compétence maltaise, et que c'était donc à La Valette de les accueillir.

L'Italie a vu débarquer sur ses côtes 36'900 immigrés en 2008, un chiffre en hausse de 75% par rapport à 2007, selon le ministère italien de l'Intérieur. De son côté, Malte a vu arriver un nombre record de 2775 clandestins en 2008. (ats)

Sunday, April 12, 2009

Hommage à la poétique du fil

Les plus beaux métiers du monde
MANUFACTURE DES GOBELINS

Le XVIIe siècle, sous l'impulsion du mécénat, a vu se développer bon nombre d'institutions originellement consacrées à diffuser la grandeur du roi. Siècle de l'Académie des belles lettres, de l'Académie des sciences ou encore de l'Académie de peinture, c'est dans ce contexte de plein essor culturel que naît la manufacture des Gobelins en 1662.

A la manufacture des Gobelins, le trésor c'est 'L'Histoire d'Alexandre', oeuvre tissée par Le Brun en l'hommage de Louis XIV. Cette tenture majeure constitue l'étendard du savoir-faire et des techniques de l'artisanat français, mais elle exalte également la vaillance du jeune Roi-Soleil par le truchement de la geste d'Alexandre. Un travail directement lié à l'expansion du modèle politico-culturel de la France. Près de quatre siècles après, les préoccupations diplomatiques ont bien changé mais les tapisseries de la manufacture continuent d'habiller les murs des ambassades, des châteaux, de la bibliothèque nationale de France et autres forteresses appartenant au patrimoine architectural français ou étranger. Pourquoi ? Comme beaucoup d'institutions culturelles créées au XVIIe siècle dans le but d'exalter le pouvoir royal, la manufacture des Gobelins s'est, au fil du temps, développée de manière indépendante de sorte que, malgré le déclin de la monarchie, la politique culturelle lancée par Louis XIV a permis d'assurer et de contribuer à l'essor de l'art et de la culture en France.

En 1443, Jean de Gobelin, teinturier en écarlate, s'installe sur les bords de la Bièvre. La qualité de son travail le pousse bientôt à étendre son domaine de compétences, tant et si bien que, progressivement, de petits ateliers de tissage voient le jour. Deux siècles plus tard, Henri IV favorise l'expansion des ateliers en faisant venir deux artistes flamands connus et appréciés de la famille Gobelin. De leur collaboration naît la manufacture qui sera rachetée quelques années plus tard par Colbert pour devenir la célèbre manufacture royale des meubles de la Couronne. Celle-ci rassemble, sur un espace de quatre hectares, plusieurs ateliers de création. Les métiers du tissage à proprement parler comportent la haute lice et la basse lice. Ce sont en fait deux méthodes de travail qui se distinguent l'une de l'autre selon le métier à tisser utilisé. Lorsque ce dernier est vertical, on parlera de haute lice car l'élément permettant la séparation des chaînes se trouve à hauteur de tête. En revanche, le métier à tisser horizontal, qui nécessite l'emploi de pédales, est appelé basse lice. Historiquement plus récente, la savonnerie constitue le troisième domaine de création qui, pour sa part, est totalement consacré à la réalisation de tapis. Dans tous les cas, hauts-liciers, bas-liciers et savonniers confectionnent des oeuvres classiques et contemporaines, mais chaque spécialité requiert des savoir-faire bien spécifiques.

Ils sont nombreux à souhaiter intégrer la prestigieuse Manufacture des Gobelins. Pourtant sur une cinquantaine de postulants, seuls quinze pourront prétendre au concours de techniciens d'art. Avant de passer le diplôme de fin d'études, quatre années d'apprentissage seront dispensées aux élèves. Durant cette période d'étude, une grande partie du temps est consacrée à la technique et quatre demi-journées par semaine réservées au dessin. Sans doute dans un souci de rendre l'apprentissage plus vivant, les apprentis liciers occupent leur vendredi après-midi à la découverte d'un musée. Le parcours, très ardu sur le plan technique, se révèle néanmoins plus abordable sur le plan financier puisque les trois années qui précèdent l'examen sont rémunérées.

Si la première année d'étude consiste surtout à la réalisation d'abécédaires afin d'apprendre à maîtriser formes, figures, hachures et autres techniques de base, très vite se pose le choix de l'interprétation qui constitue l'un des axes central de la formation. Outre la patience que requiert ce type de métier, il faut savoir que l'adaptation d'une oeuvre en tapisserie ou en tapis soulève bon nombre de problématiques. D'abord, celle de l'agrandissement qui nécessite calculs, tracés, calques et visualisation. Ensuite, intervient la question de l'interprétation de l'oeuvre qui doit répondre à l'attente de l'artiste - si celui-ci est encore vivant - et qui diffère en fonction des matériaux utilisés. Par exemple, les savonniers n'utilisent que le coeur de la laine pour confectionner un tapis or, il se trouve que le velours est une matière qui absorbe énormément la lumière. De ce fait, chaque teinte prendra une lueur différente selon qu'elle est en laine, en coton ou en soie. Aussi, outre la question de l'interprétation, le choix des couleurs et des matières est un paramètre essentiel qui implique un véritable travail de collaboration entre liciers, concepteurs et teinturiers. Dès qu'une oeuvre est en cours d'adaptation, l'artiste et le licier se rencontrent régulièrement pour partager leurs impressions.

La restauration, du fil à retordre

Lorsque l'on sait qu'une tapisserie de 25 m2 nécessite plus de quatre années de travail, on comprend aisément que certains aient préféré se tourner vers la restauration ! Toutefois, il faut savoir qu'au XIXe siècle, la mode était au tissage très fin et que certaines pièces comptaient dix fils par centimètre, ce qui nécessite une précision et une minutie à toute épreuve. Par ailleurs, la restauration suppose une grande capacité d'adaptation. La rénovation de la pièce abîmée doit être imperceptible au point que, parfois, les erreurs commises sur l'oeuvre originale sont reproduites dans leurs moindres détails ! Précision mais aussi rapidité sont de rigueur car lors des examens de fin d'année, il est demandé aux apprentis savonniers de réaliser un morceau de tapis de 20 centimètres sur 20 centimètres dans un délai de 20 jours. Bien entendu, le résultat final doit parfaitement s'intégrer dans l'oeuvre originelle.

De fil en aiguille, il convient de souligner l'autre point fort de l'institution qui réside certainement dans sa capacité d'évolution. En accord avec l'ère du temps, ce ne sont pas que tapisseries médiévales ou tapis Henri IV qui font l'objet de tant d'attention. Des oeuvres contemporaines de Kandinsky, Alechinsky, Lurçat, Bioulès mais également des photographies ou des supports numériques constituent des sujets de création très appréciés des liciers comme des demeures nationales. Bien entendu, le temps de création d'une tapisserie implique que l'oeuvre choisie connaisse une certaine pérennité. En même temps, le tissage d'oeuvres modernes présente d'autres avantages. Il implique une collaboration entre licier et artiste qui peut aboutir à la création d'un objet artistique différent de l'objet initial. Ce dialogue créateur permet d'élargir les perspectives de l'artiste qui doit aussi prendre en compte les contraintes techniques posées par le tissage.

Savoir-faire et adaptation sont certainement les maîtres mots de la manufacture des Gobelins. Contrairement à d'autres établissements qui n'ont pu bénéficier d'un financement de l'Etat tel que les ateliers d'Aubusson, la manufacture n'a pas d'obligation de rendement, ce qui lui permet d'approfondir l'analyse et la finesse de sa production.

Reconnus à l'échelle internationale, les compétences d'interprétation et la maîtrise des procédés techniques constituent le fil conducteur de la politique de création de la manufacture des Gobelins. Une ligne directionnelle qui, au fil des siècles, continue de lui assurer une réputation de prestige.

Elodie Gabillard pour Evene.fr - Avril 2009

Friday, April 10, 2009

Compete if you can

Un Franco, 14 Pesetas

Ein Franken sind 14 Peseten (Un Franco, 14 Pesetas)

2006


Zu Beginn der 1960er-Jahre beschliessen die beiden Freunde Martín und Marcos, ihr Glück in der Schweiz zu versuchen. Sie lassen ihre Familien in Madrid zurück und landen im sankt-gallischen Uzwil, wo sie einen Job finden und sich trotz Sprachschwierigkeiten bald schon bestens eingelebt haben. Als Martins Frau Pilar plötzlich auftaucht, ist es aus mit dem unbeschwerten Quasi-Junggesellenleben.

Carlos Iglesias erzählt in seinem Spielfilmerstling «Ein Franken sind 14 Peseten» die Geschichte seines Vaters, der als Migrant in die Schweiz kam. Ohne schönfärberisch zu sein, gelingt ihm eine anrührende und hochaktuelle Komödie, die vom menschlichen Umgang mit Zuwanderern erzählt.

Madrid 1960. Die spanische Bevölkerung leidet unter dem Franco-Regime. Der Alltag vieler ist geprägt von Repression, Arbeitslosigkeit und Armut. Auch die Freunde Martín (Carlos Iglesias) und Marcos (Javier Gutiérrez) bringen sich und ihre Familie kaum über die Runden, obwohl sie qualifizierte Fabrikarbeiter sind.

Martín wohnt mit seiner Frau Pilar (Nieve de Medina) und seinem kleinen Sohn Pablito (Iván Martín) in einer schäbigen kleinen Kellerwohnung. Die Männer beschliessen, es ihren Landsleuten gleichzutun, die zu der Zeit in grosser Zahl im Ausland ihr Glück versuchen. Das Traumziel der beiden ist die Schweiz, das Synonym für Freiheit und Wohlstand schlechthin.

Nur mit einem Touristenvisum ausgerüstet machen sie sich auf den Weg und kommen nach einer langen, strapaziösen Zugfahrt im eidgenössischen «Paradies» an. Sie landen im sankt-gallischen Uzwil, wo sie dank ihrer Fähigkeiten bald schon einen Job in einer kleinen Fabrik bekommen, obwohl sie keine Aufenthaltsgenehmigung haben und sich kaum verständigen können.

In der Pension oberhalb des Wirtshauses beziehen sie zwei Zimmer. Von den Wirtsleuten und den Dorfbewohnern werden sie herzlich willkommen geheissen. Trotz der grossen Unterschiede in Mentalität und Temperament und der ungewohnt kalten Temperaturen fällt es den beiden Spaniern nicht allzu schwer, sich einzuleben - vor allem auch dank der unkomplizierten Art der Schweizer Frauen.

Die hübsche Serviertochter Hannah (Isabel Blanco) wirft schon bald ein Auge auf Martín, der sich fern von seiner Familie an ein unkompliziertes «Junggesellen»-Leben zu gewöhnen beginnt.

Doch dann taucht eines Tages Pilar mit Pablito in Uzwil auf, und Martín muss sich schneller, als ihm lieb ist, wieder als verantwortungsbewusster Familienvater benehmen.Der Regie- und Drehbucherstling des spanischen Schauspielers Carlos Iglesias ist stark autobiografisch geprägt: Sein Vater wanderte 1960 von Spanien in die Schweiz aus und verbrachte hier gemäss Iglesias seine glücklichste Zeit.

Der kleine Carlos und seine Mutter reisten dem Vater einige Zeit später nach, aus der Kellerwohnung in Madrid «an einen wunderbaren Ort mit Flüssen, Wäldern, wo man im Sommer Fahrrad und im Winter Schlitten fahren konnte». Iglesias' Begeisterung für die Schweiz ist dem Film anzusehen und macht einen Grossteil des märchenhaften Charmes der Einwanderer-Komödie aus. Und doch rutscht der Film nie ins Klischierte und Kitschige ab, da der Hintergrund der Geschichte stets im oft schwierigen Alltag der Migranten verankert bleibt.

«Ein Franken sind 14 Peseten» ist denn auch ein Aufruf zu mehr Toleranz und Akzeptanz gegenüber Fremden in der heutigen Zeit, in der Flüchtlinge aus anderen Ländern in die Schweiz kommen, während die Nachfahren der spanischen und italienischen Migranten der 1960er-Jahre längst assimiliert sind und in der zweiten und dritten Generation hier leben.

Carlos Iglesias, der in seiner Heimat in gegen 30 Kino- und Fernsehproduktionen aufgetreten ist, war 2007 für «Ein Franken sind 14 Peseten» für einen Goya als bester neuer Regisseur nominiert.

Wednesday, April 08, 2009

Il terremoto in Abruzzo